L´homme qui plantait des arbres

L´homme qui plantait des arbres est un conte sur l´histoire de Elzéard Boufier, un berger qui reboise les hauters desolés où il vie. Notre narrateur, l´auter du conte, s´appelle Jean Giono et il nous raconte l´histoire avec beaucoup des détails. Tout d´abord, l´auter délimite exactement où est-ce qui se passe l´histoire. C´est aux Alpes, dans la région de Provence et je pense que en raison de la richese des détails c´est possible tracer les coordonées.

Il a été une travessie très longue et fatigante. Il n´avait de l´eau ou des bons lieus pour camper. L´aventurier n´avait plus d´espoir quand, soudain, il s´aperçu du berger.

Le berger Boufier était un homme très organisé et il a construit une belle et bonne maison pour vivre. Et, en silence, car il parlait peu, il a donné abri a notre narrateur. Ça fut une très bonne chose parce que dans les villes prochaines il y avait des caractères bien différents d´Elzéard. Ainsi que l´idealisme vers le matérialisme sont pour Humprey van Weyden et Wolf Larsen, les sentiments et les attitudes de les bûcherons et ses familles étaient pour le berger. Pendant ils débroussaillaient les fôrets, le berger plantait les graines tous les jours, même pendant les periodes de le deux Guerres Mondiales, dans lesquelles le narrateur fut engagé. Elzéard Boufier a continué a planter pendant des années, jusqu´ à sa mort, em 1947.

Il a laissé une héritage pour toute l´humanité, spécialement pour les dix mille personnes qui se sont fixé dans la région où Boufier a planté des arbres.

À mon avis, l´histoire a deux morales. La première c´est que chacun de nous pet faire une différence et changer les choses. Ça depend de nous. Par ailleurs, le conte nous montre que le reboisement est nécessaire et, pourtant, il n´autorise la destruction des fôrets, sans lesquelles les espèces vivantes peuvent disparâitre.

Enfin, la part final du scénario dans le film d´animation, avec toutes les illustrations belles, tout ça me revient le tableau de Renoir qu´on appelle Bal du Moulin de La Galette. Ça indique la preciosité et la richese de l´oeuvre cinématographique de Frederic Back.